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On this auspicious day, in a sunny and level place, fixing it up to (the elders') liking, a place for their sons and daughters, demonstrating their filial piety. Wishes of peace and good luck for all.

Traditional Baima story

Cette s��quence fait partie du corpus vid��o de Langue des Signes Emergentes utilis�� lors de la th��se d'Ivani Fusellier-Souza : le locuteur Ivaldo pr��sente son fils. 00:00:00>00:00:13 Ivaldo pr��sente son fils.

00:00:00 - 00:00:40 Conf��rence d'Alexis Karacostas prise en cours : Sollicitation des sourds-muets aupr��s de l'assembl��e nationale en 1789 (interpr��te Pascale Beaujard) 00:00:50 - 00:01:10 Logement de sourds-muets aux C��lestins 00:01:10 - 00:02:00 Evocation de la g��opolitique autour de 1789 00:02:00 - 00:02:32 Pr��sentation d'un projet de d��cret d��pos�� par un d��put�� le 22 juillet 1789 00:02:32 - 00:04:30 L'Institution Nationale des Jeunes Sourds-Muets est cr����e par l'Etat qui en prend le contr��le 00:04:30 - 00:06:35 L'institution doirt r��unir des ��l��ves dans un espace unique, diff��renci��, et autonome 00:06:35 - 00:08:00 Ind��pendance et autonomie du lieu r��pondent �� l'id��al r��volutionnaire 00:08:00 - 00:09:39 Perception de la compl��mentarit�� des sourds et des aveugles dans l'institution 00:09:39 - 00:11:06 Cohabitation entre Sourds et Aveugles dans l'institution pendant 4 ans 00:11:06 - 00:12:38 Emprisonnement de Sicard en 1792 00:12:38 - 00:12:43 Question de la salle 00:12:43 - 00:14:20 Texte de Jean Massieu pour faire lib��rer l'abb�� Sicard en 1792 00:14:20 - 00:15:44 Sicard raconte cet ��pisode, 4 ans plus tard dans une revue royaliste 00:15:44 - 00:17:03 Sicard m��prise les Sourds, si diff��rents de lui et pr��sent��s commme des animaux 00:17:03 - 00:17:55 Attitude de sourds pendant la r��volution : l'autonomie des sourds est d��j�� pr��sente 00:17:55 - 00:18:59 Sourds et Aveugles : s��paration des deux institutions en mars 1794 00:18:59 - 00:20:36 Installation de l'Institution Nationale des Jeunes Sourds-Muets au monast��re St-Magloire, rue St-Jacques 00:20:36 - 00:22:10 Aper��u du circuit suivi par des jeunes sourds pendant leur passage �� l'Institution 00:22:10 - 00:22:47 Coupure de l'enregistrement 00:22:47 - 00:26:50 Difficult��s d'admission dans l'Institut : le voyage, le trousseau,. 00:26:50 - 00:29:22 Apr��s l'institution 00:29:30 - 00:29:31 Le d��bat commence (changement d'interpr��te : C��cile Guyomarc'h) 00:29:39 - 00:30:27 Plan de cam��ra sur la salle 00:30:27 - 00:33:00 Locuteur 1 pose une question (voix de Pascale Beaujard), r��ponse d'Alexis Karacostas (C��cile Guoymarc'h) 00:33:00 - 00:33:47 Questions du locuteur 1 (voix de P. Beaujard), r��ponses d' Alexis Karacostas (C. Guyomarc'h) 00:33:47 - 00:35:38 Question de Marie-Pierre Denoncourt (voix P.Beaujard), r��ponses d'Alexis Karacostas (C. Guyomarc'h) 00:35:38 - 00:38:20 Questions de Marie-Pierre Denoncourt (voix P.Beaujard), r��ponses d'Alexis Karacostas (C. Guyomarc'h) 00:38:20 - 00:45:17 Question de Guy Bouchauveau (voix de C. Guyomarc'h), r��ponses d'Alexis Karacostas (C. Guyomarc'h) 00:45:17 - 00:45:43 Coupure 00:45:43 - 00:47:06 Extrait d'une autre conf��rence sur le m��me th��me. S��ances publiques de repr��sentations th����trales o�� la surdit�� est moqu��e entre 1780 et 1800 (interpr��te, C��cile Guyomarc'h) 00:47:06 - 00:48:01 Anecdotes sur Beaumarchais 00:48:01 - 00:49:20 Coupure 00:49:20 - 00:51:16 Papiers que les enfants doivent fournir pour rentrer dans l'institution puis coupure Vid��o capt��e au moment de la comm��moration du Bicentenaire de la mort de l'Ab�� de l'Ep��e, �� Paris, conf��rences d'Alexix Karacostas portant sur l'Institut des jeunes Sourds-Muets �� l'��poque de la r��volution fran��aise. Rushs de deux conf��rences avec pour l'une des questions de la salle. Enregistrements suivi d'un rush de Philippe S��ro-Guillaume montrant des diff��rences entre Lsf et fran��ais sign��.

La directrice du CHRD se souvient que l'id��e de cession d'une partie du site �� l'universit�� Lyon 3 a ��t�� discut��e d��s les premi��res r��unions du comit�� de pilotage �� l'��t�� 2008 tenant compte de l'��valuation par les domaines de la valeur immobili��re du site. Selon la directrice du CHRD et le conseiller �� l'ethnologie �� la DRAC, l'universit�� Lyon 3 avait d��j�� des projets avanc��s d'am��nagement sur le site vu �� cette ��poque essentiellement comme une opportunit�� immobili��re. Pour le repr��sentant de Lyon 3 la question ��tait donc de minimiser la pr��sence de l'univers carc��ral, alors que pour la conservatrice de la DRAC le p��rim��tre de protection devait garantir une lisibilit�� de la partie du site d��di��e �� la m��moire. Le nouveau pr��sident de l'universit�� de Lyon 3 qui a repris le dossier en 2012 apr��s son ��lection pr��cise qu'il ne connaissait pas bien le dossier et qu'il a souhait�� le r��-��tudier avant de signer l'acte d'acquisition. C'est en reprenant le dossier qu'il a d��couvert que l'emplacement pr��vu du futur b��timent de Lyon 3 empi��tait sur une partie du site ayant pris une importance m��morielle. Et finalement en 2015 le nouveau pr��fet de R��gion, Michel Delpuech, a renonc�� �� la vente d'une partie du site qui depuis est int��gralement consacr�� aux activit��s du M��morial. Hugues Fulchiron (pr��sident universit�� Lyon 3), CROUS. 2008-2013. prison Montluc, Manufacture des tabacs.

Video of a Xumi Dongba, filmed by Wang Dehe in Muli. In this recording, Ciren Wenzhu prepares to treat a patient (cleansing ceremony). Part 3 Equipment: Sony XDCAM PXW-X70

Recorded at RRM's yard. Were present RRM, JSB, LEA and DJC.

Chicharr��n estaba trabajando por su cuenta cuando vino uno tomaraho a buscarlo. Le cont�� que los tomaraho hab��an aceptado un trabajo, un trabajo grande y cansador que era excavar un tajamar. Llevaban varios meses trabajando, a mano con sus bolsos de fibra vegetal para sacar la tierra, pero el patr��n no les quer��a pagar y ellos no quer��an abandonar el lugar mientras no les arreglaran. Chicharr��n sali�� de donde estaba y se fue a encontrar a los tomaraho y trabaj�� con ellos. Cuando lleg�� el d��a de la paga fue a buscar al patr��n, que llevaba d��as escondi��ndose. Chicharr��n lo encara y amenaza - el patr��n esgrime que los tomaraho le adeudan por lo que han sacado de la despensa - y el patr��n termina pagando y y��ndose del lugar, aterrorizado. Lleg�� un nuevo patr��n ���bueno���, que les ense��a a trabajar con nuevos m��todos, que les ense��a y visita a menudo. Ahora usan carretillas y baldes y cuerdas. El tajamar es interminable, pero con el nuevo m��todo se avanza m��s. Todos est��n muy cansados. Un cham��n, preocupado por la situaci��n y descontento con lo que ocurre, usa sus poderes. Avisa a los tomaraho - que no le creen - y empieza a cantar, convocando distintos animales del monte, hasta que en la ma��ana una gran tempestad inesperada inund�� completamente la regi��n. El tajamar qued�� inundado e inutilizable, las herramientas se perdieron dentro y el patr��n, desolado por la situaci��n, decidi�� acabar el proyecto e irse, no sin antes regalarle a los tomaraho todo lo que pudieran encontrar en la despensa. Triunfo del cham��n.

Marc Andr��, historien, reconstitue ce qu'��tait l'appellation Montluc pendant la guerre d'Alg��rie. Montluc d��signait une prison mais aussi le tribunal permanent des forces arm��es et le fort qui a fonctionn�� entre 1957 et 1962 comme �� centre d'identification �� des Alg��riens rafl��s dans la ville. L'historien explicite le fonctionnement de ce centre de tri. Alg��riens rafl��s. 1955/1961. Lyon-prison Montluc-fort Montluc-TPFA Montluc-centre de tri de Sainte Foy les Lyon-commissariat central Vauban-Alg��rie.