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Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. et Mme Perron, agriculteurs en retraite, nés en 1924, mariés. Pratiquent le breton de manière usuelle durant leur vie, langue du couple.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; Mme Marie Alain, agricultrice, née en 1907, veuve. Pratique le breton de manière usuelle durant sa vie, pratique actuellement la langue de manière fréquente.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. Louis Le Manac'h, ouvrier à l’arsenal de Lorient, né en 1927, marié. Pratique le breton de manière usuelle durant sa vie, langue du couple . Sa femme m’accueillit avec sourire, lorsqu’elle comprit qu’il s’agissait d’être enregistrée, son visage se ferma, elle quitta son domicile et revint à la fin de l’enregistrement, à nouveau souriante, et m’offrit à boire. Son mari me demanda mes papiers d’identité en utilisant l’expression « papiers pour voyager », en français et en breton.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. Albert, forgeron, né en 1907, marié; Albert Brazic est né dans une famille bretonnante mais ses parents lui parlaient français phénomène exceptionnel dans sa classe d’âge. Il a appris le breton par osmose. Le breton était la langue vernaculaire dans la jeunesse de l’informateur. Le breton est devenu la langue usuelle de l’informateur depuis son mariage ainsi que son activité de forgeron (apprentissage puis installation à son compte). L’informateur est très nerveux et est animé par le désir de renseigner l’enquêteur au contraire de sa femme qui est bien plus posée. La forge avait été transformée en débit de boisson. Après avoir pris sa retraite, l’informateur a conservé l’habitude de servir à boire. Il semble que peu de gens passaient, un ou deux clients au maximum par jour. Il n’y avait que deux types de boisson à servir : du vin rouge ordinaire et de la bière ordinaire aussi. Chacun payait sa tournée à tour de rôle (sa femme ne buvait rien). L’informateur ne buvait jamais plus du quart de son verre entre les tournées.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. Patern Richard, pêcheur, né en 1905, veuf. Pratique le breton de manière usuelle jusqu'à son veuvage, pratique maintenant la langue de manière quotidienne. L’informateur avait les plus grandes difficultés à répondre à des questions simples de vocabulaire qui ont servi pour la rédaction du NALBB. Lorsque je lui ai fait traduire la Parabole de l’enfant prodigue j’ai été obligé de morceler les phrases à traduire en de nombreuses petites sections. L’informateur étant perdu lorsque la phrase à traduire était trop longue, ne traduisant qu’un mot du segment de phrase bafouillant etc. De plus il avait une forte tendance à interpréter les phrases. Or dans des conversations plus libres où je lui demandais des renseignements sur sa vie de pêcheur il était en revanche un excellent locuteur.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. Pierre Le Lous, agriculteur, né en 1911, marié. Pratique le breton de manière usuelle durant sa vie, langue du couple.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. Félix Tonnerre, directeur d'une usine de boîtes de conserve au pays Basque, né en 1925, marié; M. Joseph Bidoc, pêcheur dans sa prime jeunesse, né en 1934, veuf; Les deux informateurs pratique le breton de manière fréquente, ils se rencontrent souvent, ces deux informateurs sont les seuls à parler breton entre eux.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû; M. et Mme Ostiou, agent SNCF en retraire sont nés en 1923, mariés depuis 1995. le breton est la langue du couple.

Cet enregistrement provient des enquêtes dialectologiques en vue de constituer le Nouvel Atlas Linguistique de la Basse-Bretagne (NALBB) dirigé par Mr Jean Le Dû. M. Roger Stéphan, marin, né en 1938, marié. L’informateur est né à Tréméven. Il est allé vivre à Lorient avec ses parents qui avaient pris un commerce. Il a travaillé 3 ans dans la marine marchande, puis a travaillé dans le Sud-Finistère. Pratique le breton de manière fréquente durant sa vie.