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Perception of works of art is made somewhat difficult today both by the growing consumerist and anti-artistic tendencies in the very fabric of today’s life as well as the division of the once holistic notion of art into various forms of art or “arts” plural. As a possible way out the author proposes a study course, which is based on the “synthesis of arts” as revealed in the architecture and design of Christian churches, which present the most natural example of this synthesis while at the same time forming an integral part of the world’s artistic culture.

L’expérience de réintroduction de la polychromie sur les façades des églises parisiennes du XIXe siècle avec les peintures sur lave émaillée s’est déroulée, à Paris, entre 1827, date à laquelle Ferdinand-Henri-Joseph Mortelèque a mis au point les premiers essais réussis de peinture sur lave émaillée et, 1874, date à laquelle les tympans au-dessus des portes du porche de l’église Saint-Joseph-des-Nations dans le 11e arrondissement, ont été ornés de peintures sur lave émaillée peintes par Paul Balze. L’étude se concentre sur les six églises de Paris ayant reçu un décor peint sur lave émaillée en façade : Saint-Vincent-de-Paul, qui reste à ce jour le décor le plus connu par son importance et son histoire, La Sainte-Trinité, Saint-Augustin, Saint-Ambroise, Saint-Laurent et Saint-Joseph-des-Nations.Des hypothèses sont avancées quant aux possibles raisons aussi bien techniques que concernant l’évolution du goût qui ont plongé cette tentative de réintroduction de la polychromie sur les façades des églises parisiennes du XIXe siècle avec la peinture sur lave dans l’oubli, jusqu’en 1998, année de l’exposition au Musée de la Vie romantique sur les laves émaillées de l’église Saint-Vincent-de-Paul. The reintroduction of polychromy on the façades of nineteenth-century Parisian churches with paintings on enamelled lava took place, between 1827, the date on which Ferdinand-Henri-Joseph Mortelèque implement the first successful trials of painting on enamelled lava and, 1874, the date on which the tympana above the doors of the porch of the church of Saint-Joseph-des-Nations in the eleventharrondissement were decorated by Paul Balze with paintings on enamelled lava. The study focuses on the six Paris churches with decoration painted on enamelled lava on the façade: Saint-Vincent-de-Paul, which to this day remains the best-known decoration in terms of its importance and history, La Sainte-Trinité, Saint-Augustin, Saint-Ambroise, Saint-Laurent and Saint-Joseph-des-Nations.Hypotheses have been put forwards as to the possible reasons, both technical and with regards to changing taste, which plunged the attempt to reintroduce polychromy on the façades of nineteenth-century Parisian churches in obscurity, until 1998, the year of the exhibition at the Musée de la Vie Romantique of the enamelled lavas of the church of Saint-Vincent-de-Paul.